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courage nazir
Par Anonyme, le 27.07.2022
bonjour à tous je suis ici pour vous faire connaître une personne très important à moi qui peut vous aider dan
Par nathalie, le 20.01.2022
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Par nathalie, le 20.01.2022
encore des moulins à vent ! la seule et unique cause à la base de l'excès de co2, de la pollution, de raser de
Par candaulistes, le 09.12.2021
pas un mot sur la surpopulation seule et unique cause à la base !!! continuez à vous attaquer aux conséquences
Par candaulistes, le 23.11.2021
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Date de création : 08.08.2016
Dernière mise à jour :
30.07.2022
717 articles
L’initiative est « salutaire », comme le disent plusieurs élèves. Mais, suivre les cours pendant la journée via la télévision nationale reste un vrai parcours du combattant. Faute d’électricité, certains étudiants trouvent qu’il est important de programmer un télé-enseignement nocturne car le soir est la période pendant laquelle les régions sont régulièrement alimentées par la Sonelec.

La télévision nationale et la page facebook « Ortc Voidju » restent les principaux outils d'enseignement à distance en cette période de crise sanitaire. Un télé-enseignement salué au départ par plusieurs élèves, mais actuellement pointé du doigt dans le cadre des diffusions journalières.
Ahmed Saïd, élève de terminale A4, trouve ces diffusions fructueuses bien qu’il ne soit pas évident de les suivre régulièrement. « L’initiative est salutaire car rester à la maison pendant des mois sans faire cours n’avantage personne. Par contre, nous qui nous situons dans les régions plus éloignées de la capitale fédérale sommes dans l’incapacité de les suivre dans les journées à cause des délestages électriques», regrette-t-il. A l’entendre, il est pénible de suivre la suite d’un chapitre tout simplement parce que les heures de diffusions du début des cours, comme le commentaire littéraire, sont fixées entre huit heures à dix-sept heures.
Mouradi Saïd Ali, candidat au baccalauréat, estime que les programmeurs des diffusions doivent tenir compte des heures de fourniture de l’électricité et du confinement pour que la population ciblée puisse vraiment bénéficier du télé-enseignement. «C’est à partir de dix-sept heures que la Sonelec alimente toutes nos régions. Et personne ne quitte la maison à partir de vingt heures à cause du couvre-feu. Il serait préférable d’organiser un télé-enseignement nocturne », propose-t-il. A l’en croire, fixer les heures de diffusion suivant le programme d’alimentation de l’ex-Mamwe.
Via internet
Une écolière d’Itsinkudi Washili pense en outre que suivre les cours via internet est une solution compliquée. «Même via le l’internet, il nécessite du courant. Il faut charger les batteries de nos téléphones. C’est facile à dire de suivre les cours par internet, mais ça demande des moyens. Ce qui n’est pas du tout évident », s’exprime-t-elle.
Quant aux délestages journaliers dans certaines régions, la direction générale de la société nationale de l’électricité (Sonelec) déclare que la situation technique et financière de la société ne permet pas d’alimenter H24. Ainsi, « nous avons fait le choix d’alimenter le soir dans toutes les régions pour éviter l’obscurité et pour que la population puisse rester à la maison pendant le couvre-feu », explique la direction de la Sonelec.
NN